"Jour de collège" par les élèves !
Des photos
Le Master Chef Collège
Avec les derniers jours de l'hiver les élèves du collège ont décidé de se livrer à un concours de cuisine par équipe, "le master chef du collège"
Le premier concours concernait les plus jeunes de 6ème et de 5ème. Les jeunes ont décidé de concourir à la fois sur un plat salé et un dessert sucré. Le jury constitué d'enseignants et de parents ont évalué toutes les étapes de la réalisation depuis la réalisation des courses jusqu'à la dégustation des plats.
Jury et élèves se sont régalés avec des réalisations culinaires de haut niveau pour des jeunes enfants qui pour la plus part se livraient à leur première expérience complexe en cuisine.
Une belle réussite épanouissante.
Nos blobs ;)
Une journée de rando
Brocéliande - une journée pas comme les autres !
Visite de la Ploerinoise - Espionnage industriel
Nous avons visité en février une fabrique de crêpes et de galettes, située à Plescop.
L’entreprise distribue les produits principalement aux supermarchés
et aux collectivités.
A - Déroulement de la visite
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B - Bilan de l’espionnage
|
Il neige, on en profite !
La récré
Masques d'Halloween
Nous avons fabriqué nos masques sur mesure. Une vraie aventure !
Notre rentrée à Berder
Pour accéder à l’île Berder, nous sommes passés par le gué. Nous étions équipés d’une carte et d’un questionnaire, nous avons commencé la promenade. On a regardé la carte grâce à laquelle nous nous sommes orientés sur l’île. Nous avons fait le tour de l’île en répondant aux questions du quiz qui portaient sur l’histoire et le paysage de l’île Berder. Il a fallu que l’on revienne très vite car l’eau montait rapidement au niveau du gué. Par la suite, nous nous sommes installés pour pique-niquer, nous avons répondu aux dernières questions concernant l’histoire de l’île Berder nous sommes rentrés à pied au collège, c’était une bonne balade !
Clara et Romain !
Avec la mer à l’île Berder
Carole, Gilles, Mannaig nous on donné un quiz pour visiter l’île. Nous avions une carte pour nous repérer dans l’île, ainsi qu’un questionnaire sur l’histoire de l’île. Nous avons observé les îles autour et devant nous, on a repéré « le courant de la jument". Pour passer le gué avant qu’il ne se soit recouvert entièrement d’eau il a fallu que l’on se dépêche de passer. Ensuite nous avons pique-niqué tous ensemble. Nous avons lu une pancarte qui racontait l’histoire de l’île Berder, celle-ci nous a aidés à répondre aux dernières questions de notre quiz. Pour finir nous sommes rentrés à pied au Collège.
Pierre et Camille
Pour accéder à l’île Berder, nous sommes passés par le gué. Nous étions équipés d’une carte et d’un questionnaire, nous avons commencé la promenade. On a regardé la carte grâce à laquelle nous nous sommes orientés sur l’île. Nous avons fait le tour de l’île en répondant aux questions du quiz qui portaient sur l’histoire et le paysage de l’île Berder. Il a fallu que l’on revienne très vite car l’eau montait rapidement au niveau du gué. Par la suite, nous nous sommes installés pour pique-niquer, nous avons répondu aux dernières questions concernant l’histoire de l’île Berder nous sommes rentrés à pied au collège, c’était une bonne balade !
Clara et Romain !
Avec la mer à l’île Berder
Carole, Gilles, Mannaig nous on donné un quiz pour visiter l’île. Nous avions une carte pour nous repérer dans l’île, ainsi qu’un questionnaire sur l’histoire de l’île. Nous avons observé les îles autour et devant nous, on a repéré « le courant de la jument". Pour passer le gué avant qu’il ne se soit recouvert entièrement d’eau il a fallu que l’on se dépêche de passer. Ensuite nous avons pique-niqué tous ensemble. Nous avons lu une pancarte qui racontait l’histoire de l’île Berder, celle-ci nous a aidés à répondre aux dernières questions de notre quiz. Pour finir nous sommes rentrés à pied au Collège.
Pierre et Camille
La super aprèm’ accrobranche
Notre classe est arrivée à Ploemel à la forêt Adrénaline vers 14h. L’animateur, Pierre, nous a expliqué les règles et le fonctionnement du harnais, de la poulie et du crochet. Puis nous avons commencé tous ensemble le parcours « écureuil ». Nous nous sommes lancés par la suite sur une piste rouge car nous étions à l’aise et en confiance. Oliver, Pierre, César et Lancelot ont fait le parcours de la « girafe » qui était trop bien ! Pendant ce temps Carole et Romain ont fait la « Maxi tyro », c’est un parcours uniquement composé de tyrolienne. Clara et Marine sont restées sur des parcours plus cool du type : « Panda et écureuil » mais elles ont fini par faire la piste du « Duel ». Pour finir, nous nous sommes tous fait plaisir en faisant un dernier tour de « Maxi tyro ».
Oliver et Lancelot
Les accrobranchés
Nous sommes arrivés à 14h00 à la forêt adrénaline, Pierre l’animateur, nous a expliqué le fonctionnement d’un harnais, d’un crochet, d’une poulie et nous nous sommes équipés d’un casque et de gants. Nous avons fait un premier test avant de passer à l’action, Lancelot, Jakob, César, Pierre, Romain, Oliver et Carole ont commencé par la piste de «l’Iguane» suivie de la piste rouge. Ensuite les groupes se sont séparés et ont fait différents parcours. Marine et Clara, on fait la piste «Panda» et le «Duel». Pour terminer en Beauté nous avons tous fait la «Maxi Tyro» c’est un parcours composé uniquement de tyrolienne. C’était vraiment Génial !!!
César et Jakob !
Notre classe est arrivée à Ploemel à la forêt Adrénaline vers 14h. L’animateur, Pierre, nous a expliqué les règles et le fonctionnement du harnais, de la poulie et du crochet. Puis nous avons commencé tous ensemble le parcours « écureuil ». Nous nous sommes lancés par la suite sur une piste rouge car nous étions à l’aise et en confiance. Oliver, Pierre, César et Lancelot ont fait le parcours de la « girafe » qui était trop bien ! Pendant ce temps Carole et Romain ont fait la « Maxi tyro », c’est un parcours uniquement composé de tyrolienne. Clara et Marine sont restées sur des parcours plus cool du type : « Panda et écureuil » mais elles ont fini par faire la piste du « Duel ». Pour finir, nous nous sommes tous fait plaisir en faisant un dernier tour de « Maxi tyro ».
Oliver et Lancelot
Les accrobranchés
Nous sommes arrivés à 14h00 à la forêt adrénaline, Pierre l’animateur, nous a expliqué le fonctionnement d’un harnais, d’un crochet, d’une poulie et nous nous sommes équipés d’un casque et de gants. Nous avons fait un premier test avant de passer à l’action, Lancelot, Jakob, César, Pierre, Romain, Oliver et Carole ont commencé par la piste de «l’Iguane» suivie de la piste rouge. Ensuite les groupes se sont séparés et ont fait différents parcours. Marine et Clara, on fait la piste «Panda» et le «Duel». Pour terminer en Beauté nous avons tous fait la «Maxi Tyro» c’est un parcours composé uniquement de tyrolienne. C’était vraiment Génial !!!
César et Jakob !
Notre super après-midi spéciale Halloween!
Nous avons fabriqué nos citrouilles pour Halloween, ne sont-elles pas magnifiquement effrayantes ?
Notre Noël au collège !
Notre repas "chandeleur":
Pour la chandeleur, les élèves ont organisé et préparé un repas de galettes et de crêpes. Nous avons préparé les pâtes puis confectionné des galettes complètes et des crêpes de froment pour tous. Voici quelques Images de notre "Chandeleur", nos crêpes et nos galettes étaient excellentes, mais désolés "nos recettes resteront secrètes !!!
Pour la chandeleur, les élèves ont organisé et préparé un repas de galettes et de crêpes. Nous avons préparé les pâtes puis confectionné des galettes complètes et des crêpes de froment pour tous. Voici quelques Images de notre "Chandeleur", nos crêpes et nos galettes étaient excellentes, mais désolés "nos recettes resteront secrètes !!!
Année 2017/2018
A l’aube de l’humanité (octobre et novembre 2017)
Dans le cadre du programme d’histoire et des sciences de la vie et de la terre, les jeunes du Collège Autrement ont étudié les origines de l’Homme. Cette étude a commencé aux premières modifications génétiques qui séparèrent les futurs humains des singes, il y a 7 à 10 millions d’années. Pour bien visualiser l’évolution depuis les australopithèques jusqu’aux homo-sapiens, les élèves ont réalisé une fresque historique en respectant l’échelle du temps. Ils ont étudié l’évolution de leurs caractéristiques physiques et leurs façons de vivre.
Pour compléter cette étude, les jeunes ont réalisé des ateliers : taille de silex pour fabriquer des outils (racloires et pointes de silex), fabrication de flèches, de javelots et de lanceurs selon les méthodes et matériaux utilisées à la préhistoire. Ils ont aussi appris à allumer le feu avec des silex et un briquet en fer.
Gilles
Dans le cadre du programme d’histoire et des sciences de la vie et de la terre, les jeunes du Collège Autrement ont étudié les origines de l’Homme. Cette étude a commencé aux premières modifications génétiques qui séparèrent les futurs humains des singes, il y a 7 à 10 millions d’années. Pour bien visualiser l’évolution depuis les australopithèques jusqu’aux homo-sapiens, les élèves ont réalisé une fresque historique en respectant l’échelle du temps. Ils ont étudié l’évolution de leurs caractéristiques physiques et leurs façons de vivre.
Pour compléter cette étude, les jeunes ont réalisé des ateliers : taille de silex pour fabriquer des outils (racloires et pointes de silex), fabrication de flèches, de javelots et de lanceurs selon les méthodes et matériaux utilisées à la préhistoire. Ils ont aussi appris à allumer le feu avec des silex et un briquet en fer.
Gilles
Visite du village de l’An 1000
Afin d’illustrer notre cours d’histoire médiévale, nous avons visité le village de l’an 1000. Il est situé sur les hauteurs d’une colline. Il est petit et regroupe une dizaine de maisons. Ses occupants sont des paysans, un boulanger, un tanneur, un ferronnier.
Les habitations sont constituées d’une pièce unique avec en son centre un foyer, pour se chauffer et faire cuire les aliments. D’un côté vivait la famille, de l’autre les animaux. Cela permettait de protéger les animaux des prédateurs et diffusait une plus grande source de chaleur dans la maison. La fumée dégagée par le foyer protégeait des parasites.
Les maisons sont rectangulaires, les murs font 80 cm de haut. Une charpente en bois vient s’appuyer sur le muret. Le toit est en chaume. Par peur du mauvais sort, deux portes pour toutes ouvertures. Une pour le quotidien (porte des vivants), et une pour faire sortir les défunts (porte des morts).
L’eau se trouvait au ruisseau, en bas de la colline. Les familles possédaient quelques animaux : vaches chèvres, cochons, poules. Ils cultivaient des céréales pour le pain et les bouillies. Des légumes et des plantes médicinales poussaient dans le potager.
C’est super de pouvoir voir pour de vrai, on comprend mieux comment vivaient nos ancêtres !
Louis
Afin d’illustrer notre cours d’histoire médiévale, nous avons visité le village de l’an 1000. Il est situé sur les hauteurs d’une colline. Il est petit et regroupe une dizaine de maisons. Ses occupants sont des paysans, un boulanger, un tanneur, un ferronnier.
Les habitations sont constituées d’une pièce unique avec en son centre un foyer, pour se chauffer et faire cuire les aliments. D’un côté vivait la famille, de l’autre les animaux. Cela permettait de protéger les animaux des prédateurs et diffusait une plus grande source de chaleur dans la maison. La fumée dégagée par le foyer protégeait des parasites.
Les maisons sont rectangulaires, les murs font 80 cm de haut. Une charpente en bois vient s’appuyer sur le muret. Le toit est en chaume. Par peur du mauvais sort, deux portes pour toutes ouvertures. Une pour le quotidien (porte des vivants), et une pour faire sortir les défunts (porte des morts).
L’eau se trouvait au ruisseau, en bas de la colline. Les familles possédaient quelques animaux : vaches chèvres, cochons, poules. Ils cultivaient des céréales pour le pain et les bouillies. Des légumes et des plantes médicinales poussaient dans le potager.
C’est super de pouvoir voir pour de vrai, on comprend mieux comment vivaient nos ancêtres !
Louis
Les légendes arthuriennes: (premier trimestre 2017)
Les élèves du collège autrement ont étudié en français et en histoire les légendes arthuriennes en s'appuyant sur la littérature, les différentes fictions audio-visuelles et une journée en forêt de Brocéliande pour confronter mythes et réalités. Pour la fête de Noël, les élèves ont monté une pièce de théâtre, librement inspirée des différents supports étudiés.
A la découverte du château de Comper :
Le 19 octobre, nous avons eu la chance de visiter le château de Comper, qui se situe à l’entrée de la forêt de Brocéliande.
Certains disent que ce château est le « château de Camelot » dans la légende du roi Arthur.
Ce château possède un ancien pont-levis. C’est par là que nous sommes rentrés. Le château dispose de quatre tours en mauvais état pour certaines. Un mur d’enceinte l’entoure et servait à le protéger.
A l’intérieur du château, il y a une librairie qui vend de nombreux livres sur la légende arthurienne.
Nous sommes montés aux étages et nous avons découvert des panneaux expliquant la légende arthurienne, ainsi que des scènes jouées par des mannequins déguisés en roi Arthur ou en Merlin, ceux-ci représentaient des passages de la légende d’Arthur.
Pour finir, nous avons regardé un film qui expliquait et racontait la fabuleuse histoire du château et du lac qui l’entoure, pour certains ce serait le lac d’Avalon où vie la fée Viviane dans son château de Glace crée par Merlin, d’autres pensent que ce n’est qu’une légende. Nous ne saurons jamais le vrai du faux mais chacun peut croire ou non en cette histoire !
Les élèves du collège autrement ont étudié en français et en histoire les légendes arthuriennes en s'appuyant sur la littérature, les différentes fictions audio-visuelles et une journée en forêt de Brocéliande pour confronter mythes et réalités. Pour la fête de Noël, les élèves ont monté une pièce de théâtre, librement inspirée des différents supports étudiés.
A la découverte du château de Comper :
Le 19 octobre, nous avons eu la chance de visiter le château de Comper, qui se situe à l’entrée de la forêt de Brocéliande.
Certains disent que ce château est le « château de Camelot » dans la légende du roi Arthur.
Ce château possède un ancien pont-levis. C’est par là que nous sommes rentrés. Le château dispose de quatre tours en mauvais état pour certaines. Un mur d’enceinte l’entoure et servait à le protéger.
A l’intérieur du château, il y a une librairie qui vend de nombreux livres sur la légende arthurienne.
Nous sommes montés aux étages et nous avons découvert des panneaux expliquant la légende arthurienne, ainsi que des scènes jouées par des mannequins déguisés en roi Arthur ou en Merlin, ceux-ci représentaient des passages de la légende d’Arthur.
Pour finir, nous avons regardé un film qui expliquait et racontait la fabuleuse histoire du château et du lac qui l’entoure, pour certains ce serait le lac d’Avalon où vie la fée Viviane dans son château de Glace crée par Merlin, d’autres pensent que ce n’est qu’une légende. Nous ne saurons jamais le vrai du faux mais chacun peut croire ou non en cette histoire !
Brocéliande : l’arbre d’or et le chêne Guillotin
La forêt de Brocéliande et ses mystérieux arbres…Nous nous y sommes rendus en minibus et nous avons parcouru la forêt à pied.
L’arbre d’or
Gilles nous a raconté l’histoire de l’arbre d’or.
« Il était une fois dans une forêt très sèche, un début de feu qui se déclara et brula tout le Valon. Pour la mémoire et sensibiliser les visiteurs, un artiste eu l’idée d'une œuvre d'art placée à l'entrée du Val sans retour. Elle est composée au centre d'un arbre mort doré à l'or fin et entouré par quatre arbres au tronc calciné et noir. Cette représentation symbolise au regard des hommes que la forêt est un trésor précieux mais fragile ».
Le chêne Guillotin :
Nous avons vu le chêne Guillotin qui avait plus de 1000 ans. Il mesure 20 mètres de haut, 9 mètres de diamètre. La légende raconte que Guillotin se faisait poursuivre par des « sans culotte » (révolutionnaires), jusqu’à ce qu’il trouve, par chance, un arbre avec un large trou dans lequel il pu se cacher. Une grosse araignée tissa une énorme toile sur le trou du tronc. Lorsque les « sans culotte » sont arrivés, ils virent la toile fermant l'entrée du tronc et pensèrent que nul n'était entré et ainsi ils ne virent pas que Guillotin était caché à l’intérieur de l’arbre.
OLIVER
La forêt de Brocéliande et ses mystérieux arbres…Nous nous y sommes rendus en minibus et nous avons parcouru la forêt à pied.
L’arbre d’or
Gilles nous a raconté l’histoire de l’arbre d’or.
« Il était une fois dans une forêt très sèche, un début de feu qui se déclara et brula tout le Valon. Pour la mémoire et sensibiliser les visiteurs, un artiste eu l’idée d'une œuvre d'art placée à l'entrée du Val sans retour. Elle est composée au centre d'un arbre mort doré à l'or fin et entouré par quatre arbres au tronc calciné et noir. Cette représentation symbolise au regard des hommes que la forêt est un trésor précieux mais fragile ».
Le chêne Guillotin :
Nous avons vu le chêne Guillotin qui avait plus de 1000 ans. Il mesure 20 mètres de haut, 9 mètres de diamètre. La légende raconte que Guillotin se faisait poursuivre par des « sans culotte » (révolutionnaires), jusqu’à ce qu’il trouve, par chance, un arbre avec un large trou dans lequel il pu se cacher. Une grosse araignée tissa une énorme toile sur le trou du tronc. Lorsque les « sans culotte » sont arrivés, ils virent la toile fermant l'entrée du tronc et pensèrent que nul n'était entré et ainsi ils ne virent pas que Guillotin était caché à l’intérieur de l’arbre.
OLIVER
La légende de la fontaine de Barenton et du val sans retour
Notre classe du "collège autrement" a découvert la forêt et ses mystères.
La fontaine de Barenton:
C'est une fontaine magique, la légende raconte que lorsque l’on fait un vœu les bulles remontent à la surface de l’eau « dans les trois minutes, si les bulles ne remontent pas à la surface le vœu ne sera pas exaucé »
La fontaine était petite et à côté, il y a le rocher de Merlin. La légende dit que si l'on verse de l’eau dessus, il se met à pleuvoir dans les dix minutes qui suivent. Le pire c’est que cela a fonctionné car plus tard nous avons eu de la pluie.
Le val sans retour
Morgane avait surpris un jour son amant en compagnie d'une maîtresse sur les bords du vallon, folle de rage et de jalousie elle jeta un mauvais sort, et les deux amants se sont transformés en un rocher en forme de cœur. Morgane dit : « que tous les infidèles qui entrent dans le vallon seront punis et ne sortiront jamais du val sans retour ». Avant de vous aventurer en ce lieu réfléchissez bien à vos actes !
Les dragons
Au val sans retour, nous avons découvert l’histoire de la bataille d’Arthur contre Mordred. Arthur demanda à Merlin le soutien des dragons lors de la bataille, les dragons se sont fait tuer dans le val sans Retour, et nous avons aperçu les arêtes de leurs dos qui sortent de la terre.
Basile
Notre classe du "collège autrement" a découvert la forêt et ses mystères.
La fontaine de Barenton:
C'est une fontaine magique, la légende raconte que lorsque l’on fait un vœu les bulles remontent à la surface de l’eau « dans les trois minutes, si les bulles ne remontent pas à la surface le vœu ne sera pas exaucé »
La fontaine était petite et à côté, il y a le rocher de Merlin. La légende dit que si l'on verse de l’eau dessus, il se met à pleuvoir dans les dix minutes qui suivent. Le pire c’est que cela a fonctionné car plus tard nous avons eu de la pluie.
Le val sans retour
Morgane avait surpris un jour son amant en compagnie d'une maîtresse sur les bords du vallon, folle de rage et de jalousie elle jeta un mauvais sort, et les deux amants se sont transformés en un rocher en forme de cœur. Morgane dit : « que tous les infidèles qui entrent dans le vallon seront punis et ne sortiront jamais du val sans retour ». Avant de vous aventurer en ce lieu réfléchissez bien à vos actes !
Les dragons
Au val sans retour, nous avons découvert l’histoire de la bataille d’Arthur contre Mordred. Arthur demanda à Merlin le soutien des dragons lors de la bataille, les dragons se sont fait tuer dans le val sans Retour, et nous avons aperçu les arêtes de leurs dos qui sortent de la terre.
Basile
NOS LANTERNES NE SONT PAS TERNES
Afin de décorer
La scène de notre pièce de théâtre
Sur la légende arthurienne.
Nous avons fabriqué des lanternes.
On a fait 2 séances l’après-midi en salle d’activité avec les profs.
Nous avons étalé la colle sur les bocaux, placé les feuilles séchées sur les bocaux. Puis, nous avons appliqué 2 couches de verni pour faire briller les feuilles séchées aux couleurs d’automne.
Pierre LF
Afin de décorer
La scène de notre pièce de théâtre
Sur la légende arthurienne.
Nous avons fabriqué des lanternes.
On a fait 2 séances l’après-midi en salle d’activité avec les profs.
Nous avons étalé la colle sur les bocaux, placé les feuilles séchées sur les bocaux. Puis, nous avons appliqué 2 couches de verni pour faire briller les feuilles séchées aux couleurs d’automne.
Pierre LF
Arthur et les chevaliers de la table ronde s'invitent à la fête de Noël.
Pour fêter Noël, les élèves du collège autrement ont présenté aux parents une pièce de théâtre inspirée des légendes arthuriennes.
Le scénario élaboré par les jeunes s'est librement inspiré des légendes du Roi Arthur mais aussi de la série TV « Kaamelot » et du film « sacré Graal » des Monty Pithon. De nombreux clins d’œil faisaient références à "Michael Jackson, Bugs Bunny, Dark Vador ou Les Visiteurs" pour des phrases cultes.
Les élèves ont imaginé et réalisé les costumes, les décors et les effets spéciaux.
La pièce s'est bien déroulée et a provoqué de nombreux rires auprès d'un public conquis et enthousiasmé. C'est une belle réussite et une belle récompense pour les élèves qui se sont beaucoup investis.
Pour clôturer la soirée, un cocktail dînatoire, préparé par les élèves a été partagé entre les jeunes acteurs, les formateurs, les parents et les invités.
Ce fût une soirée très sympathique et conviviale.
Basile, Pierre L. et Pierre L.F. aidé de Gilles.
Pour fêter Noël, les élèves du collège autrement ont présenté aux parents une pièce de théâtre inspirée des légendes arthuriennes.
Le scénario élaboré par les jeunes s'est librement inspiré des légendes du Roi Arthur mais aussi de la série TV « Kaamelot » et du film « sacré Graal » des Monty Pithon. De nombreux clins d’œil faisaient références à "Michael Jackson, Bugs Bunny, Dark Vador ou Les Visiteurs" pour des phrases cultes.
Les élèves ont imaginé et réalisé les costumes, les décors et les effets spéciaux.
La pièce s'est bien déroulée et a provoqué de nombreux rires auprès d'un public conquis et enthousiasmé. C'est une belle réussite et une belle récompense pour les élèves qui se sont beaucoup investis.
Pour clôturer la soirée, un cocktail dînatoire, préparé par les élèves a été partagé entre les jeunes acteurs, les formateurs, les parents et les invités.
Ce fût une soirée très sympathique et conviviale.
Basile, Pierre L. et Pierre L.F. aidé de Gilles.
Notre visite à l'imprimerie
Nous avons rencontré Jean-Marie Flageul à Ménimur dans la ville de Vannes. Il est artiste plasticien (il a fait des études d’art-plastique). Jean-Marie nous a dit qu’il pratiquait la gravure et la typographie, il utilise différents supports comme du lino, du zinc, du film plastique et du bois ou il grave des formes, des dessins, des lettres. Il nous a expliqué quelque chose de très important à faire pour que notre œuvre ne soit pas ratée, c’est de dessiner à l’envers pour obtenir un effet miroir. Par la suite, nous sommes passés à la pratique et nous avons appris à préparer et étaler l’encre sur le marbre avec des outils spéciaux comme par exemple : un rouleau et une spatule. Nous avons utilisé un lino déjà gravé sur lequel, nous avons chacun notre tour, étalé de l’encre bleue puis nous l’avons, déposée sur le plan de travail de l’imprimante. Louis a installé et calé sa feuille dans les supports du rouleau puis il a réglé sa hauteur. Il a ensuite tiré la manivelle pour que le rouleau et la feuille viennent rencontrer le morceau de lino gravé et encré. La dernière étape consiste à mettre la feuille imprimée dans le séchoir. Monsieur Flageul a mis à disposition du collège une petite imprimante portable pour qu’on puisse imprimer les textes de nos poésies à l’école.
Oliver et Louis
Nous avons rencontré Jean-Marie Flageul à Ménimur dans la ville de Vannes. Il est artiste plasticien (il a fait des études d’art-plastique). Jean-Marie nous a dit qu’il pratiquait la gravure et la typographie, il utilise différents supports comme du lino, du zinc, du film plastique et du bois ou il grave des formes, des dessins, des lettres. Il nous a expliqué quelque chose de très important à faire pour que notre œuvre ne soit pas ratée, c’est de dessiner à l’envers pour obtenir un effet miroir. Par la suite, nous sommes passés à la pratique et nous avons appris à préparer et étaler l’encre sur le marbre avec des outils spéciaux comme par exemple : un rouleau et une spatule. Nous avons utilisé un lino déjà gravé sur lequel, nous avons chacun notre tour, étalé de l’encre bleue puis nous l’avons, déposée sur le plan de travail de l’imprimante. Louis a installé et calé sa feuille dans les supports du rouleau puis il a réglé sa hauteur. Il a ensuite tiré la manivelle pour que le rouleau et la feuille viennent rencontrer le morceau de lino gravé et encré. La dernière étape consiste à mettre la feuille imprimée dans le séchoir. Monsieur Flageul a mis à disposition du collège une petite imprimante portable pour qu’on puisse imprimer les textes de nos poésies à l’école.
Oliver et Louis
S’exprimer sans peur et sans reproche, la magie de la chorégraphie.
Pour la dernière semaine de cours avant les vacances de février, nous avons participé à un stage d’expression corporelle et chorégraphique.
Le stage était animé par Danielle, une spécialiste de la chorégraphie. Au cours du stage nous avons pu explorer de nombreuses techniques d’expression corporelle et d’écriture, tel que le mime, la danse en symbiose, les duels, la phrase infernale…
Chacun de nous a pu se détacher progressivement de la peur du regard des autres, du ridicule et oser s’approprier les pas de danse, laisser parler son corps et son imagination.
Ce furent des moments joyeux qui se finissaient dans les éclats de rire.
Au travers des différentes pratiques que nous avons associées ensembles, nous avons élaboré une chorégraphie de groupe pour accompagner la chanson de « Mademoiselle Marseille ».
Une bien belle expérience pour clôturer sept semaines au collège.
Merci à Danielle pour sa patience, sa gentillesse et son dévouement.
Les élèves du collège autrement !
Pour la dernière semaine de cours avant les vacances de février, nous avons participé à un stage d’expression corporelle et chorégraphique.
Le stage était animé par Danielle, une spécialiste de la chorégraphie. Au cours du stage nous avons pu explorer de nombreuses techniques d’expression corporelle et d’écriture, tel que le mime, la danse en symbiose, les duels, la phrase infernale…
Chacun de nous a pu se détacher progressivement de la peur du regard des autres, du ridicule et oser s’approprier les pas de danse, laisser parler son corps et son imagination.
Ce furent des moments joyeux qui se finissaient dans les éclats de rire.
Au travers des différentes pratiques que nous avons associées ensembles, nous avons élaboré une chorégraphie de groupe pour accompagner la chanson de « Mademoiselle Marseille ».
Une bien belle expérience pour clôturer sept semaines au collège.
Merci à Danielle pour sa patience, sa gentillesse et son dévouement.
Les élèves du collège autrement !
A la découverte des oiseaux du golfe
En cette fin d’hiver qui s’attarde sur le printemps nous avons fait deux visites ornithologiques sur les marais du Golfe du Morbihan. La première visite sur le marais du Duer à Sarzeau et la deuxième sur le marais de Pen en Toul à Larmor Baden. C’est caroline, animatrice nature du centre Ty Golfe qui a animé ces deux visites.
Depuis des observatoires, nous avons regardé à la jumelle et des longues vues, les différents oiseaux qui se nourrissaient ou se reposaient sur les bassins ou les digues. Caroline nous a expliqué les différences entre les espèces, oiseaux brouteurs ou carnassiers, échassiers ou palmipèdes, différence entre mâle et femelle… Le tout accompagné d’anecdote et de petites histoires.
Nous avons pu observer des spatules avec leur bec en forme de cuillère, de nombreux canards, dont le Tadorne de belon avec ses jolies couleurs, le gros canard souchet, les bernaches qui sont des oies migratrices venues d’Europe du nord et de Sibérie pour passer l’hiver dans la douceur bretonne. Quelques cygnes glissaient gracieusement sur l’onde, sous l’œil immobile d’un cormoran qui tentait de sécher ses plumes dans la froide grisaille de cette après-midi pluvieuse. Des aigrettes blanches, quelques hérons cendrés ou blancs arpentaient les fonds maritimes. Du haut de leurs grandes échasses, ils guettent d’un œil rond la proie qui leur servira de dîner au cœur de ce havre de paix.
Même un chevreuil nous fait le plaisir de nous rendre visite. En quelques bons gracieux, il cherche une ouverture dans le grillage de la digue pour quitter les herbiers des marais et rejoindre l’abri des fourrés boisés.
Malgré la pluie, la grisaille, nous avons passé deux après-midi très intéressantes. Dorénavant nous ne verrons plus les marais de la même façon et nous chercherons à identifier quelques silhouettes de ses habitants qui nous sont devenues familières.
Gilles
En cette fin d’hiver qui s’attarde sur le printemps nous avons fait deux visites ornithologiques sur les marais du Golfe du Morbihan. La première visite sur le marais du Duer à Sarzeau et la deuxième sur le marais de Pen en Toul à Larmor Baden. C’est caroline, animatrice nature du centre Ty Golfe qui a animé ces deux visites.
Depuis des observatoires, nous avons regardé à la jumelle et des longues vues, les différents oiseaux qui se nourrissaient ou se reposaient sur les bassins ou les digues. Caroline nous a expliqué les différences entre les espèces, oiseaux brouteurs ou carnassiers, échassiers ou palmipèdes, différence entre mâle et femelle… Le tout accompagné d’anecdote et de petites histoires.
Nous avons pu observer des spatules avec leur bec en forme de cuillère, de nombreux canards, dont le Tadorne de belon avec ses jolies couleurs, le gros canard souchet, les bernaches qui sont des oies migratrices venues d’Europe du nord et de Sibérie pour passer l’hiver dans la douceur bretonne. Quelques cygnes glissaient gracieusement sur l’onde, sous l’œil immobile d’un cormoran qui tentait de sécher ses plumes dans la froide grisaille de cette après-midi pluvieuse. Des aigrettes blanches, quelques hérons cendrés ou blancs arpentaient les fonds maritimes. Du haut de leurs grandes échasses, ils guettent d’un œil rond la proie qui leur servira de dîner au cœur de ce havre de paix.
Même un chevreuil nous fait le plaisir de nous rendre visite. En quelques bons gracieux, il cherche une ouverture dans le grillage de la digue pour quitter les herbiers des marais et rejoindre l’abri des fourrés boisés.
Malgré la pluie, la grisaille, nous avons passé deux après-midi très intéressantes. Dorénavant nous ne verrons plus les marais de la même façon et nous chercherons à identifier quelques silhouettes de ses habitants qui nous sont devenues familières.
Gilles
Le livre c’est
GRAV-URE !!!
Mardi 20 mars 2018, nous avons mis la dernière main à la création de notre livre d’imprimerie avec Jean Marie, l’artiste graveur. On s’est concerté pour trouver le titre du livre. On a décidé de l’appeler « élèvecriture » car ça réunissait le travail des élèves et ça porte sur l’écriture et l’imprimerie.
Nous avons ensuite préparé l’impression de la couverture du livre avec son titre et un idéogramme, que nous avons mis en impression sous la presse, chacun notre tour.
Après avoir laissé sécher l’impression, nous avons relié ensemble les différentes pages du livre, constituées de nos gravures et de nos textes de poésie.
Chacun de nous a pu récupérer son exemplaire unique du livre imprimé et un exemplaire sera envoyé à la biennale du livre pour participer au concours des livres imprimés par les écoles.
Louis
Tous potiers d’un jour
Nous avons rencontré Katell la potière de l’association Arnodva à Larmor Baden. Katell nous a montré une exposition de ses œuvres, assiettes, vases, gourdes, tasses… Pour ses réalisations, Katell utilise différentes argiles comme la terre rouge, la terre noire ou la terre grise. En fonction des couleurs de terre, Katell les fait cuire à différentes températures entre 1000° et 1300°. Plus la température est élevée plus la poterie sera fermée donc imperméable à l’eau.
Après nous sommes allés dans son atelier pour réaliser une poterie. Katell nous a demandés d’imaginer ce qu’on voulait sculpter et elle nous a expliqué comment travailler la terre. Ensuite, chacun de nous a réalisé son œuvre : Les deux Pierre ont fait des tasses et des bonhommes, Louis a fait une tête de Troll, Basile une sirène, nos deux formateurs ont fait des têtes de lion et de cheval et moi j’ai réalisé une assiette et un bol.
Nous récupérerons nos œuvres dans une semaine le temps qu’elles sèchent.
J’ai trouvé cet atelier très agréable car pouvoir pétrir la terre et voir se former l’œuvre issue de notre imagination est extrêmement plaisant.
Oliver
Nous avons rencontré Katell la potière de l’association Arnodva à Larmor Baden. Katell nous a montré une exposition de ses œuvres, assiettes, vases, gourdes, tasses… Pour ses réalisations, Katell utilise différentes argiles comme la terre rouge, la terre noire ou la terre grise. En fonction des couleurs de terre, Katell les fait cuire à différentes températures entre 1000° et 1300°. Plus la température est élevée plus la poterie sera fermée donc imperméable à l’eau.
Après nous sommes allés dans son atelier pour réaliser une poterie. Katell nous a demandés d’imaginer ce qu’on voulait sculpter et elle nous a expliqué comment travailler la terre. Ensuite, chacun de nous a réalisé son œuvre : Les deux Pierre ont fait des tasses et des bonhommes, Louis a fait une tête de Troll, Basile une sirène, nos deux formateurs ont fait des têtes de lion et de cheval et moi j’ai réalisé une assiette et un bol.
Nous récupérerons nos œuvres dans une semaine le temps qu’elles sèchent.
J’ai trouvé cet atelier très agréable car pouvoir pétrir la terre et voir se former l’œuvre issue de notre imagination est extrêmement plaisant.
Oliver
Notre visite chez les pompiers de Vannes :
Le jeudi 5 avril après-midi nous avions rendez-vous au centre de secours de Vannes pour découvrir concrètement le métier et le monde fascinant des soldats du feu.
Encadrés par un pompier professionnel, nous avons pu visiter la partie technique du centre de secours. Nous avons commencé par le standard qui gère en fonction des alertes les équipements et les hommes à envoyer sur les interventions. Les appels au secours n’arrivent pas directement à la caserne, ils sont d’abord traités par le centre des appels de la Direction Départementale d’incendie et de secours qui transmet l’alerte au centre de secours le plus adapté à la situation.
Ensuite nous avons visité le parc à matériel avec les différents véhicules dont chacun a une spécialité et est adapté à une situation d’urgence. Nous avons pu observer les équipements et leurs fonctions, tenir en main les lances à incendie et voir les équipements spécialisés pour les risques chimiques ou le sauvetage en mer.
Notre guide a répondu à toutes nos questions et nous a bien expliqué les caractéristiques de son métier, les parcours pour devenir pompier et les valeurs morales et physiques pour le faire. Il nous a expliqué que 80% des interventions sont du secours à la personne, accident de la route ou de la vie, arrêt cardiaque… Ils sont plus souvent confrontés aux blessures et aux morts qu’à des incendies. Un pompier professionnel doit être solide dans sa tête, altruiste et dévoué à la cause car ce n’est pas toujours simple d’assurer les gardes de nuit loin de sa famille, de dormir d’un sommeil léger souvent interrompu par les alertes, d’être confronté aux accidentés et à la mort.
Les pompiers font un travail remarquable fait d’abnégation et d’engagement au service des citoyens. Après cette visite, peu d’entre nous se sentent capables d’envisager une telle carrière et nous rendons hommage aux hommes du feu pour ce qu’ils font pour leurs concitoyens.
Les élèves aidés des professeurs!
Le jeudi 5 avril après-midi nous avions rendez-vous au centre de secours de Vannes pour découvrir concrètement le métier et le monde fascinant des soldats du feu.
Encadrés par un pompier professionnel, nous avons pu visiter la partie technique du centre de secours. Nous avons commencé par le standard qui gère en fonction des alertes les équipements et les hommes à envoyer sur les interventions. Les appels au secours n’arrivent pas directement à la caserne, ils sont d’abord traités par le centre des appels de la Direction Départementale d’incendie et de secours qui transmet l’alerte au centre de secours le plus adapté à la situation.
Ensuite nous avons visité le parc à matériel avec les différents véhicules dont chacun a une spécialité et est adapté à une situation d’urgence. Nous avons pu observer les équipements et leurs fonctions, tenir en main les lances à incendie et voir les équipements spécialisés pour les risques chimiques ou le sauvetage en mer.
Notre guide a répondu à toutes nos questions et nous a bien expliqué les caractéristiques de son métier, les parcours pour devenir pompier et les valeurs morales et physiques pour le faire. Il nous a expliqué que 80% des interventions sont du secours à la personne, accident de la route ou de la vie, arrêt cardiaque… Ils sont plus souvent confrontés aux blessures et aux morts qu’à des incendies. Un pompier professionnel doit être solide dans sa tête, altruiste et dévoué à la cause car ce n’est pas toujours simple d’assurer les gardes de nuit loin de sa famille, de dormir d’un sommeil léger souvent interrompu par les alertes, d’être confronté aux accidentés et à la mort.
Les pompiers font un travail remarquable fait d’abnégation et d’engagement au service des citoyens. Après cette visite, peu d’entre nous se sentent capables d’envisager une telle carrière et nous rendons hommage aux hommes du feu pour ce qu’ils font pour leurs concitoyens.
Les élèves aidés des professeurs!
Nos activités sportives
Le kayak de mer c’est super
Nous avons navigué dans le golf du Morbihan car notre collège se situe à 100m de la mer.
Cet automne pendant trois après-midi, encadrés par un moniteur, nous avons pu découvrir le golf de très près.
Nous étions par équipe de deux personnes sur des kayaks biplaces stables et insubmersibles.
Naviguer sur le golf n’est pas toujours facile il faut apprendre à repérer le sens du courant, du vent et être attentif aux bateaux à moteur.
Quelques bains mémorables ! : Pierre et moi face au port de Larmor Baden, Gilles et Pierre dans le courant de la jument (un des courants les plus forts d’Europe) et Marine au gué de Berder.
Nous avons hâte d’être au printemps pour recommencer !
Louis
Nous avons navigué dans le golf du Morbihan car notre collège se situe à 100m de la mer.
Cet automne pendant trois après-midi, encadrés par un moniteur, nous avons pu découvrir le golf de très près.
Nous étions par équipe de deux personnes sur des kayaks biplaces stables et insubmersibles.
Naviguer sur le golf n’est pas toujours facile il faut apprendre à repérer le sens du courant, du vent et être attentif aux bateaux à moteur.
Quelques bains mémorables ! : Pierre et moi face au port de Larmor Baden, Gilles et Pierre dans le courant de la jument (un des courants les plus forts d’Europe) et Marine au gué de Berder.
Nous avons hâte d’être au printemps pour recommencer !
Louis
Le base-ball:
Nous avons délimité le terrain grâce au décamètre de Gilles notre directeur, ce qui nous a permis de faire des maths aussi.
Par la suite nous avons commencé par faire des passes pour s’entraîner, et nous avons terminé par un tournoi.
Pour être un bon joueur je pense qu’il faut être habile, concentré et rapide.
Le base-ball c’est génial !
Pierre L
Nous avons délimité le terrain grâce au décamètre de Gilles notre directeur, ce qui nous a permis de faire des maths aussi.
Par la suite nous avons commencé par faire des passes pour s’entraîner, et nous avons terminé par un tournoi.
Pour être un bon joueur je pense qu’il faut être habile, concentré et rapide.
Le base-ball c’est génial !
Pierre L
Le tir à l'arc: Pile dans le mille!!! Nous venons de commencer le tir à l’arc. J’adore ça ! Cela me donne envie d’en faire en club ! Les séances se déroulent dans la cour. Nous disposons de 7 arcs dont 2 gauchers, et 10 flèches. C’est monsieur Picaud qui nous a encadré. Il était très précis dans ses explications. Je pense que pour être un bon archer il faut être calme, concentré et avoir des bras bien musclés. Je suis content d’avoir tiré dans le 1000 à 30 mètres. Pierre L.F. |
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